Aubut
Elisabeth
Dates à retenir :
- Nommée en octobre 2024 pour œuvrer auprès du Fellowship à l’étranger.
Élisabeth est née dans une famille chrétienne. Elle a été bénie d’une fondation solide dans la foi.
Elle a accepté le Christ comme son Sauveur à neuf ans. Elle a trouvé en Lui le trésor qu’elle recherchait tant. À 16 ans, pendant sa lecture du verset 24 du chapitre 20 du livre des Actes, elle a senti que Dieu l’appelait à le servir, quel qu’en soit le prix. Depuis, elle a recouru à ses expériences personnelles pour épauler ses « petites sœurs spirituelles » pour leur montrer que l’Évangile peut répondre à leurs plus profonds désirs.
Élisabeth souligne : Je crois que Dieu m’a appelée pour outiller les jeunes femmes francophones au Québec pour leur permettre de grandir comme des disciples de Jésus dévouées et des dirigeantes formées. Ma mission consiste à déclencher une multiplication de disciples à l’échelle du Québec, au-delà d’un seul ministère ou d’une seule Église.
Le Québec demeure vraiment un champ missionnaire. Moins de 1 % de sa population fréquente une Église évangélique. Si des vestiges d’un cadre culturel chrétien demeurent, un urgent besoin de disciples solides et prêts à se reproduire se fait sentir. Dans les Églises, le nombre de femmes surpasse souvent celui des hommes. Pourtant, peu d’entre elles peuvent se servir pleinement de leurs dons. En français, il y a peu de moyens adaptés à leurs besoins. Beaucoup de femmes recourent à de la documentation traduite qui dilue ou simplifie le message de l’Évangile. Elles demeurent dépourvues d’une fondation théologique solide et pertinente.
Élisabeth écrit : Je travaillerai de concert avec des initiatives de l’AEBEQ, l’association régionale du Fellowship au Québec, avec d’autres organisations comme SOLA Femmes Scriptura (TGC Québec). Nous produirons ainsi de la documentation centrée sur l’Évangile et sur les parcours de rayonnement de direction pastorale. J’ai pour objectif de susciter des dirigeantes locales qui peuvent soutenir les femmes au sein de leur propre communauté d’Église. Par l’entremise du Fellowship à l’étranger, j’ai accès au soutien nécessaire à l’établissement d’un mouvement durable qui produira un effet viable.
J’imagine une génération de femmes francophones au Québec qui deviendront des disciples qui en forment d’autres et des dirigeantes qui produiront un effet à l’échelle du monde francophone élargi.